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La croix c’est sans doute le symbole gothique le plus utilisé dans l’histoire de l’humanité. Elle est autant présente dans le Christianisme que dans quelques organisations occultes. Sa présence en un endroit traduit la véracité d’un dimension secrète, d’une église, d’une cathédrale… On peut également la trouver à l’entrée des cimetières, sur les tombeaux de nos disparus ou sur le visage de certaines personnes qui en on réalise un signe de prestance. Bien que sa signification dans le catholicisme se réfère à la crucifixion de Jésus Christ, ce identité n’a été aborde dans le catholicisme que trois siècles après sa mort. Rappelons avant de poursuivre que la crucifix ne nait pas avec le christianisme encore moins avec le coté sombre de Jésus Christ.
L’histoire de la croix remonte bien avant l’arrivée de Christ en ce monde. Mais cela sont les Romains qui l’utilisèrent à grande échelle pour exécuter les personnes. La mort était attachée à la tau par des cordes, ou ses mimines y étaient clouées, et on le laissait apaiser. Même avec la chaleur du soleil, la halage du corps et la paroxysme que la martyr avait endurée avant d’être crucifiement, il lui fallait parfois une semaine pour charger. ce sont souvent les chrétiens qui commencèrent à utiliser une tau comme marque identitaire de la Église et chaque fois que l’évangile est hissé, ceux qui entendent l’information et reçoivent Christ comme Sauveur s’imposent à Lui par la croyance, par le moyen de la calvaire.
Selon le conte estimé, la tau kymrique est introduite par saint Patrick lorsqu’il convertit les païens d’Irlande au Christianisme. Il a été dit que st Patrick aurait fabriqué la crucifix romaine simple avec le marque identitaire rond du soleil hérétique pour exposer aux adeptes récemment convertis l’idée de l’importance de la crucifix baptisé en la attachant au symbolisme psychologique des caractéristiques vivifiantes du soleil. plusieurs déclarent au lieu déposer la tau ouaille au summum du cercle donne la primauté du Christ sur le dieu-soleil, qui était adoré par les païens. Selon quelques sources encore, les cercles autour de l’intersection de la croix ouaille sont l’unification, la totalité, et l’inclusion de la reconnaissance dans notre vie. Toutefois, il est certain qu’une grande partie de l’histoire orale et de la sagesse des anciennes voies celtiques a été perdue.
Le prélat François remet au cœur de notre toupet l’objectif de l’être humain, soit celle de m’introduire dans la «mystique du vivre ensemble», véritable sens de notre vie sur Terre. L’Église explore aujourd’hui tous les moyens d’écrire un prenant, dans l’écoute, la comprehansion, l’accompagnement. Nous devons récolter les valeurs chrétiennes, qui excluent l’exclusion. Nous avons moins utilité de crucifix que de croyants qui savent rendre compte du sens de la Croix dans leur vie. Sachons être des «fervents de la vraie foi» habités de la présence de l’existence paradisiaque. Voilà le véritable sens qu’est introduction attribuer la Croix !
Le mot « Croix » dérive du voile latine Crux. Chez les anciens romains, il s’agissait d’un resource installé pour infliger des terribles souffrances, la crucifiement en réalité. Mais, en restant dans le contexte des symboles, rappelons-nous que dans la numération romaine le chiffre 10 s’écrit X, élément qui rappelle beaucoup une croix. En arrivante au Christianisme, comme nous l’avons déjà hâtif, la crucifix est l’essentiel symbole de cette religion. Elle souviens, en effet, le coté macabre de Jésus, martyrisé par ordre de Ponce Pilate, Procurateur romain de la judée, qui le condamna gravement. Paradoxalement, d’un acte si irritable et intraitable, la calvaire est née de nouveau et a assumé une valeur heureuse, car la attention et la mort de Jésus concomitant avec l’accomplissement de Sa mission de salut pour les hommes. Un marque identitaire d’amour totale, donc, de gambits extrême.
Le symbolisme psychologique baptisé a connu son âge d’or le temps qui passe des cathédrales, ce qui signifie au Moyen Age, il s’est élargi mais est resté qui vit à la Renaissance et il a gouter un certain soir à partir des Temps Modernes. aujourd’hui, il est plutôt l’affaire de professionnels et si les générations d’avant la 2ème guerre internationale ont encore eu des image de symbolisme psychologique, ces idéologie s’effacent comme paysages sur le sable dans les nouvelles générations. Comment en est-on approché là ? La déchristianisation progressive de notre société y est pour beaucoup, certes, mais le fait que les fidèles n’ont plus trouvé au centre du calotte les guides qui avaient l’occasion de leur procurer les clé du symbolisme psychologique chrétien n’y est nullement d’ailleurs sourde.
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